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-Parc des sculptures (Ploumanac'h)
Ce parc présente plusieurs sculptures monumentales en granit.
François Breton. "Mère à l'enfant"
"viens, car tu veilles et quand la mère est émue, souris"
Marc Simon. "Menhir II"
"Le menhir connu de tous constitue une forme prétexte qui devient pour moi secondaire. Avec menhir II, je jette un pont entre ce qui fut et ce qui est d'aujourd'hui. Le regard de la modernité au travers d'une conscience neuve, d'un outillage lui-même issu des industries granitières bretonnes et contemporaines".
L'artiste cherche de nouvelles façons d'appréhender la matière. Son espace de création est déterminé par le jeu de limites de la pierre, de l'outillage et des siennes.
Biscornet. "Anishnable Manitoumaqua"
Du canadien John Bisson, dit "biscorned".
Ce totem représente la Grande Ourse, une constellation qui a guidé les marins de Saint-Malo vers le nouveau monde. Elle est constituée de sept blocs de granit, à l'image des sept étoiles.
Ce type de sculpture a été crée par les Inuits pour se repérer dans les paysages de neige du Grand Nord. Les images symboliques gravées au dos rendent hommage à la nature.
"L'ours a l'esprit du véritable être humain" nous rapporte un message de réconciliation, de pardon, de respect à l'égard de la nature. L'homme appartient à la nature et non le contraire.
François Breton. "L'Ankou"
L'Ankou est la représentation de la mort en Bretagne.
A la croisé des traditions et du temps présent, le sculpteur exprime sa vision actuelle de la nature humaine, optimiste et sans illusion.
Viorel Enache. "La difficulté du dialogue ou de l'infini avec Rouzic".
L'œuvre, désignant le signe de l'infini, c'est l'idée de l'envol et de l'infinitude d'idées qui sont à la genèse de toute œuvre artistique. Les formes serpentines issues d'un mélange de travail élaboré et le traitement de surface laissant apparaître les traits d'outils, se dessinent dans l'espace verticalement afin d'utiliser cette idée.
C'est une forme d'élévation au-dessus de l'univers terrestre, accrocheur et limité. Par sa transposition en volume, l'idée de cette œuvre traite de l'infini et qui peut nous emmener plus loin dans notre imagination.
Shelomo Selinger. "Le sculpteur et sa création"
Jean Yves Ménez. "Le passage"
Sur le thème du passage, cette œuvre de 32 tonnes est née d'un collaboration avec l'iut de Lannion. Dans cette sculpture, des capteurs de présence restituent la mémoire encore visuelle du visiteur. Le bloc du fond, ayant été perforé en son centre et délesté d'un noyau cylindrique qui gît à son pied.
Tatsumi Sakaï. "Distant vieu"
"J'espère trouver le temps de réfléchir sur ma vie tout en regardant le passage au travers la fissure".
Wattel. "Femme fleur ou femme enceinte".
Pierre Székely. "Nu primitif"
Joseph Visy. "Madame et son chien".
Patrice le Guen. "Repos du tailleur".
Les sculpteurs ont su depuis toujours donner vie à cette matière qu'est le granit rose, témoin tous les monuments qui se dressent en Bretagne. Cet art plusieurs fois millénaire est toujours vivant.
Cette œuvre est un hommage à Daniel Chhe, homme de passion, mécène et ami des arts ainsi qu'aux hommes qui extraient le granit de la terre.
Seenu. "Eclosion"
La fleur de lotus prend ses racines dans la vase, et s'élève au dessus de l'eau pour offrir sa couleur immaculée et son parfum subtil. Une fleur de quelques jours mais dont les graines survivent mille ans. Fleur nationale de l'Inde, elle est le symbole de l'épanouissement, de l'espoir et de la féminité.
Eclosion représente l'homme et la femme jaillissant de la fleur de lotus, l'amour purifié qui va semer à son tour et se multiplier à l'infini.
Hervé Quéré. "La vie au soleil"
Tatsumi Sakaï. "La colline et la crique"
Les deux faces de la sculpture évoquent la complémentarité étroite entre la terre et la mer.
"Le cycle de l'eau ressemble à celui de la vie humaine. Déversée par les rivières dans la mer, elle s'évapore avec le soleil pour revenir sous forme de pluie"
Patrice le Guen. "Dahud"
"La légende de la ville d'Ys: La fille du roi Gradlon causa la perte de la ville en s'emparant des clefs de la cité pour les offrir à son amoureux malveillant. La ville était construite au dessous du niveau de la mer. l'amoureux ouvrit les portes laissant les flots engloutir la cité".
David Puech. "Le fauteuil"
"S'assoir dans un fauteuil, c'est bien agréable, mais vouloir le garder pour soi, c'est dommage! Passants, allons tous nous installer dans le fauteuil le temps d'un vol d'hirondelles car tout est éphémères."
Tags : Parc aux statutes, scupltures, ploumanac'h
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Commentaires
1delphSamedi 15 Mars 2014 à 19:47Super bienRépondre
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